Scènes-en-Ré

L’Empreinte de Vauban (suite)

La Poudrière de Jean-Paul Alègre
Une forteresse au paradis de Victor Haïm
L’Estuaire est un pays d’ombres de Dominique Paquet
Avec Florian Montas, Renaud Marchal, Florence Berlioz et Victor Haïm.
Mise en espace : Florence Berlioz

La compagnie Fludessence
Elle travaille sur l'écriture et la mise en scène contemporaines, dans un voyage perpétuel entre le passé et les écritures nouvelles, la musique des mots, le rythme et le langage scénique. En création libre ou dirigée pour un événement, des sensibilisations à la scène pour les jeunes spectateurs (ateliers, rencontres...) la compagnie est composée d’une douzaine de comédiens.

Florence BERLIOZ
Après les conservatoires de Strasbourg et Bordeaux, une maîtrise Arts à Bordeaux 3, un passage en production au TNT de Toulouse et le concours administratif de l’ENSATT à Lyon, elle fonde Fludessence en 2002, travaille la mise en scène depuis 2003 tout en s’initiant à l’écriture en 2005 avec la création Berlioz ! En observation constante auprès de metteurs en scènes comme L.Laffargue, J.Thierrée, C.Pauthe, R.Mitou, G.Delaveau, elle participe en 2007 au concours des jeunes metteurs en scène du Théâtre 13 à Paris avec Le Songe d’A. Strindberg qu’elle prépare pour 2009, après une commande pour les 400 ans du Québec prévu en 2008.

Renaud MARCHAL
Formé au conservatoire de Bordeaux durant deux ans, il apprend ensuite les différentes techniques du masque (notamment balinais) avec la compagnie Temps Fort Théâtre en Dordogne, où il est à présent comédien permanent. Il travaille depuis 2002 avec la compagnie Lazzi Zanni qu’il co-dirige avec Fabien Bassot. Il interprète en 2005 à l’Odyssée de Périgueux Il marche monologue de Christian Rullier, auteur qu’il affectionne puisqu’il met en scène en 2006 C'est-à-dire. Il travaille également en 2007 avec P. Le Velly et le Théâtre grandeur Nature.

Florian MONTAS
Formé au Conservatoire de Bordeaux et à l’école nationale de La Roche-sur-Yon entre 2001 et 2005, il travaille en particulier en Aquitaine avec G.Tiberghien, J-P. Ibos pour une création collective, JM. Broucaret sur une nouvelle écriture de Noëlle Renaude, Philippe Sire pour Richard 3 scène nationale Le Manège en 2006 et avec Pilar Antony sur La Danse de mort d’A.Strindberg. Il vit actuellement à Paris, mais continue son travail avec plusieurs compagnies bordelaises, notamment la compagnie des Limbes et Fludessence.




Vendredi 3 août, 21h00 dans la cour de l’Hôtel de Clerjotte de St-Martin-de-Ré
Lundi 6 août, 18h30 au marché couvert de La Flotte.

Pour réserver :
Office du tourisme de Saint-Martin-de-Ré : 05 46 09 20 06
Thélième :
thelieme@aol.com

Pourquoi Vauban ?
Parce que c'est l'année du tricentenaire de sa mort.
Parce que les remparts de Vauban protègent l'île.
Parce que ces remparts devraient être inscrits au patrimoine de l'humanité.

Mais pourquoi "l'empreinte" ?
Parce que c'est la trace qu'on laisse sur le sol meuble, ce qui s'éveille dans notre mémoire au nom de Vauban. Ce qu'on imagine quand on ne sait pas qui il est, ou, lorsqu'on est érudit, ce qu'on voudrait transmettre tout en divertissant.

Trois auteurs : Jean-Paul Alègre, Victor Haïm, Dominique Paquet, avaient participé à Blaye à une résidence au cours de laquelle, il devait en deux jours, écrire une pièce de 12 à 16 minutes.
Titre obligatoire pour les trois auteurs : La Poudrière.
Chaque auteur imagine un sous-titre.
Personnage imposé : Vauban.
Elément imposé : une anguille.
Nom de rue imposé : "Rue du 144e Régiment d’Infanterie en garnison dans la citadelle de 1874 à 1914". (Nom effectif de la rue dans laquelle sont situés les bureaux du Festival de Blaye)
Phrase imposée : "Le résultat des élections va tenir dans un mouchoir de poche."
On eut : La Poudrière de Jean-Paul Alègre, et La Poudrière de Victor Haïm, mais celle de Dominique Paquet s'intitulait L'estuaire est un pays d'ombres.

Pour l'année Vauban, Jean-Paul Alègre et Dominique Paquet ont bien voulu transformer la "rue du 144e régiment d'infanterie", en "place du 123e", mais Victor Haïm s'est pris au jeu et a complètement revu sa copie. Il a écrit une "fantaisie": Une forteresse au Paradis.

Ce sont donc trois pièces absolument inédites que Théâtre et Lieux de Mémoire vous proposent, le vendredi 3 août à Saint-Martin-de-Ré, dans les jardins de Hôtel de Clerjotte, et le lundi 6 août sur le marché couvert de la Flotte-en-Ré, en présence des auteurs.
N'est-ce pas un merveilleux cadeau qu'ils nous offrent ?


Théâtre et Lieux de Mémoire
thelieme@aol.com

Petit programme

L’Empreinte de Vauban par la Compagnie Fludessence
vendredi 3 août à 21 h au Musée Cognacq-Jay à Saint Martin-de-Ré
lundi 6 août à 18 h 30 au Marché couvert de La Flotte-en-Ré

Lecture-spectacle de trois textes inédits
L’estuaire est un pays d’ombres de Dominique Paquet
La Poudrière de Jean-Paul Alègre
Une forteresse au paradis de Victor Haïm par l’auteur


Comédie Jeux de planches de Jean-Paul Alègre

Samedi 4 août au Marché couvert de La Flotte-en-Ré à 18 h 30
Dimanche 5 août Musée Cognacq-Jay à Saint Martin-de-Ré à 19 h 30


Et en avant-première de la saison théâtrale 2007-2008 à Paris,

Loupiote d’Antoine Guiraud et Kamel Isker (Théâtre 13)

Mime perturbé
Samedi 4 août au Marché couvert de La Flotte-en-Ré à 21 h
Dimanche 5 août au Musée Cognacq-Jay à Saint Martin-de-Ré à 21h

Histoire d’un merle blanc d’après Alfred de Musset, par Stéphanie Tesson
(Théâtre du Ranelagh)

Théâtre
Lundi 6 août au Marché couvert de La Flotte-en-Ré à 21 h

Lecture-spectacle
Salle de l’âge d’or à Saint-Martin de Ré, dimanche 5 août à 18 h
La Fessée de Jean-Louis Bauer (Théâtre de la Madeleine)
par Bernadette Le Saché et l’auteur.